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Nasophile, il est interdit de prélèvements nasaux après 192 tests négatifs au Covid-19

by admin2176

C’est une histoire rocambolesque relayée par nos confrères du world news daily report. Un tribunal de Caroline du Sud a en effet émis une injonction restrictive inhabituelle ce matin, révoquant le droit d’un résident de Greenville d’être testé pour le virus COVID-19 après avoir été testé 192 fois «uniquement pour son propre plaisir sexuel».

Selon les 47 personnes et organisations enregistrées comme plaignants dans cette affaire, Humphrey Reynolds, 58 ans, utilise des cliniques de dépistage COVID comme des «cliniques de services sexuels financées par l’État», se faisant tester jusqu’à trois fois par jour pour le plaisir sexuel.

M. Reynolds est un «nasophile» autoproclamé qui tient un blog sur les fétiches sexuels nasaux. Il y poste plusieurs articles traitant du plaisir des «prélèvements de nez COVID profonds».

Helen Fitzgerald, une infirmière qui l’a testé deux fois en décembre et qui faisait partie des plaignants a ainsi déclaré qu’elle était soulagée par la décision du tribunal.

«Dès que j’ai inséré le coton-tige dans son nez, il a commencé à gémir bruyamment de plaisir, laissant une tache humide sur son jean. Puis il est revenu cinq heures plus tard et c’était la même chose.

Un autre plaignant qui a testé M. Reynolds au début de janvier, le Dr Brian Smith, a décrit leur rencontre comme la plus troublante de sa carrière.

«J’ai pris la place de l’infirmière car je pensais que le faire faire par un homme plus âgé pourrait ruiner son fétiche. J’ai été très dur et très impoli avec lui, mais il m’a aimé l’expérience car il est revenu deux heures plus tard.

M. Reynold avait affirmé que lui interdire de subir un test pouvait menacer sa santé et sa sécurité. Son argument a été rejeté par le tribunal.

Une injonction interdira à M. Reynolds de s’approcher à moins de 100 mètres d’une clinique de test COVID pendant les 24 prochains mois, sous peine d’emprisonnement.

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